dimanche 22 février 2015

Les rendements de l'assurance vie en 2014

Alors qu'en 2014 les taux d'intérêt se sont avérés être extrêmement bas, il en a été tout autrement pour les rendements des contrats d'assurance vie à capital garanti qui ont pour leur part été relativement élevés.

vendredi 20 février 2015

L'automobile connectée, la voiture de demain ?

Le numérique arrive même jusque dans le domaine de l’automobile. En effet, les voitures sont désormais équipées d’applications pratiques qui permettent d’améliorer la conduite. Zoom sur ces nouveautés.

jeudi 19 février 2015

Habitation : ce qui change en 2015

De nombreuses évolutions viennent bouleverser les habitudes en matière d'habitat cette année. Parmi elles : la taxe d'aménagement, les détecteurs de fumée ou encore la taxe sur les résidences secondaires.

dimanche 21 décembre 2014

L'indemnisation lors d'une catastrophe naturelle

Les dernières pluies diluviennes ont causé au moins cinq mots dans une partie du Sud-Est de la France et il faut dresser un bilan de ces terribles intempéries qui ont touché l'Aude, les Pyrénées-Orientales mais aussi l'Aveyron et l'Hérault. Le ministre de l'Intérieur a demandé la reconnaissance de catastrophe naturelle. Elle encadre franchises et délai d'indemnisation. Mais que cela comprend-il ?

samedi 20 décembre 2014

Un nouvel outil pour évaluer sa voiture : Priorit'air

Le 3 décembre dernier, la ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a présenté le projet Priorit’air, un nouvel outil web qui sert à évaluer le volume de pollution de son véhicule. Une démarche qui accompagne la loi sur la transition énergétique. Explications.

Un projet innovant

La ministre de l’Ecologie Ségolène Royal a présenté le 3 décembre dernier le projet Priorit’air. Concrètement, cet outil permet de calculer en ligne gratuitement le niveau de pollution d’un véhicule. La pollution représente un problème majeur dans la société puisqu’elle s’avère très nuisible pour l’environnement mais aussi pour la santé publique. Pour les particuliers, il est difficile d’estimer si son véhicule pollue beaucoup ou non. Alors pour que les conducteurs puissent s’informer, un outil de mesure à la fois simple et pratique a été mis au point. Priorit’air concerne tous les types de véhicules, que ce soit des voitures, des poids lourds, des utilitaires ou des bus par exemple.

Un système de notation

Priorit’air s’avère très facile à utiliser. Il suffit simplement de remplir les informations relatives à la carte grise, c’est-à-dire le type de véhicule, le carburant utilisé et la date de la première immatriculation. Une fois ces données transmises, Priorit’air note le véhicule. Le taux de pollution émis peut aller de 1 à 5 étoiles, c’est-à-dire du plus polluant au moins polluant. Il faut savoir que ce système est indicatif et non véridique. L’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) est à l’origine de ce système et elle se base sur un arrêté ministériel datant de mai 2012. Ce dernier classe les véhicules par catégories, selon leur niveau de pollution.

Sensibiliser les conducteurs

Une façon de sensibiliser les Français à la pollution et de les inciter à faire attention au volume qu’ils produisent. Plus précisément, Priorit’air pourrait influencer les conducteurs à réduire leurs déplacements inutiles par exemple. Ce projet s’inscrit également dans une démarche écologique du gouvernement. Le 14 octobre 2014, l’Assemblée Nationale a adopté un projet de loi sur la transition énergétique. Il a pour but de créer des zones à circulation restreintes et de renouveler les flottes publiques, selon le ministère de l’Ecologie. A l’avenir, d’autres projets devraient être mis en place pour continuer dans cette démarche, comme l'augmentation du bonus écologique et un système d'identification des véhicules selon leurs émissions polluantes.

vendredi 19 décembre 2014

Accès aux soins préservés en Europe malgré la crise

D'après la toute dernière édition du " Panorama de la santé " sous l'intitulé " Europe 2014 " réalisé par l'OCDE (l'organisation de coopération et de développement économique); on peut noter que durant la crise économique, la grande majorité des pays de l'Union Européenne ont tout de même réussi à préserver leur couverture santé universelle, une garantie indispensable à l'accès aux soins de santé pour leur population.

Toutefois, il s'avère que deux exceptions ont été touchées à cette époque par le non maintien de la couverture d'assurance maladie : à savoir la Grèce et la Bulgarie, soit deux pays au sein desquels un grand nombre d'habitants ont été privés (au minimum temporairement) de leur assurance maladie.

Hausse des restes à charge

Toujours d'après l’OCDE, on peut constater que les restes à charge, à cause des coupes budgétaires, ont été augmentés dans une partie des pays d'Europe tandis que les dépenses de santé ont quand elles diminué d'environ 0,6% annuellement de 2009 à 2012 alors que depuis l'année 2000, elles étaient en augmentation de 4,7% par an.

Amélioration des soins

Cependant, malgré la crise, les soins de santé ont gagné de plus en plus qualité et les chiffres le prouvent car ces dix dernières années, les personnes ayant été victimes de crise cardiaque ont vu leur taux de mortalité chuter de 40%. Pourtant, selon les pays, certaines disparités persistent encore au niveau de la prise en charge et c'est pourquoi, le risque de décès après 30 jours d'admission pour une crise cardiaque dans un hôpital en Letonnie ou en Hongrie est deux fois plus important qu'en Suède ou au Danemark par exemple.

Les français restent les premiers consommateurs d'antibiotiques dans l'Union Européenne

En ce qui concerne la France, l’OCDE a souhaité attirer son attention sur trois points essentiels. Le premier vise le poids important qu'incombe les frais hospitaliers dans les dépenses de santé, et cela, en dépit des efforts fournis afin de développer des prises en charge moins onéreuses. Le second porte sur la dépense pharmaceutique qui elle aussi reste conséquente malgré une évolution légère durant ces dernières années. Enfin, un dernier point crucial : la prescription d’antibiotiques en France qui demeure être la plus élevée en Europe et qui de ce fait, a été qualifiée comme étant préoccupante.

L'e-constat est arrivé sur smartphone le 1er Décembre

C’est officiel, depuis le 1er décembre vous pouvez remplir votre constat avec votre smartphone. Une nouveauté dans le monde des assurances, qui peu à peu adopte la technologie. Zoom sur l’application e-constat.

Une démarche simplifiée

Finie la paperasse inutile et compliquée en cas d’accidents, tout passe désormais par son téléphone. Une évolution qui parait logique dans le monde des assurances. Il suffit aux assurés de télécharger l’application e-constat. Concrètement, le document se présente de la même façon que sur le format papier, ainsi les conducteurs ne seront pas perturbés par cette façon de procéder. A l’aide de son doigt, il faudra remplir chacune des cases afin d’expliquer et de donner les détails de l’accident. Une façon qui s’avère plus pratique et plus rapide que la méthode traditionnelle pour passer ce moment pénible.

Remplir toutes les étapes

Pour remplir un constat virtuel, il suffit de compléter sept étapes à la suite. Tout d’abord, il faut renseigner les coordonnées de l’assureur, le numéro du contrat et les coordonnées de l’assuré. Si l’utilisateur choisit de “pré-remplir” ces cases lors du premier chargement de l’application, il lui restera seulement cinq étapes, soit un vrai gain de temps pour les conducteurs. Par exemple, l’étape du schéma s’avère très interactive et même ludique. Il est possible de placer différents éléments comme les voitures, les sens de déplacement ou encore des panneaux. De plus, en faisant un schéma de façon virtuelle, il sera donc toujours plus clair et lisible que sur une version papier.

Envoi automatique à l’assurance

Pour ceux qui n’arrivent pas à s’habituer à cette version virtuelle et au tactile, pas de panique ! Il suffit de dessiner le schéma sur papier, de le prendre en photo avec son smartphone et de le charger dans l’application. L’autre alternative reste que les deux parties remplissent leur constat chacune de leur côté avec leur téléphone. Grâce à un code envoyé par l’application, les deux seront associés au même constat. Pour terminer, il suffit de signer le constat, avec son doigt. Cette dernière étape valide le document et ce dernier s’envoie automatiquement à l’assureur.

Source

dimanche 7 décembre 2014

Les demandes de médiation explosent dans l'assurance

Les demandes de médiation ne cessent d’augmenter dans le monde des assurances. Ce nouveau phénomène concerne les litiges entre les particuliers et les assureurs. De nombreux facteurs expliquent cette hausse à la fois importante et progressive. Les explications en quelques points.

Des demandes de plus en plus fréquentes

La FFSA - Fédération Française des Sociétés d’Assurances - a noté une augmentation significative des demandes de médiation. En effet, en 2013 elle aurait reçu plus de 10 000 demandes, soit 25% de plus qu’en 2012. L'organisation est en charge de résoudre à l’amiable les différents problèmes et conflits qui surviennent entre assureurs et assurés. Globalement sur ces cinq dernières années, l’augmentation des demandes a été de 413%.

Les causes d’une telle augmentation

Selon la FFSA, plusieurs raisons expliqueraient cette forte hausse. La crise économique et les comportements qui évoluent représentent des facteurs importants. En effet, la société se trouve désormais dans un espace où il devient normal de contester. Ainsi, les assurés comme les assureurs n’hésitent plus à se tourner vers les organisations concernées en cas de problèmes. Les recours sont nombreux, ainsi certains en utilisent le maximum afin de se faire entendre. Même les rapports d’experts sont contestés par les sociétés. Beaucoup d’assurances ne seraient pas satisfaites des résultats d’expertises.

Des demandes difficiles à résoudre

Les problèmes les plus fréquents viennent des assurances emprunteurs, auto et multirisque habitation. Par exemple, les assurances feraient appel à la médiation car des assurés ne payent pas leurs cotisations en raison de leurs problèmes financiers. Les garanties d’assurance voyage et les assurances liées à la carte bancaire représenteraient elles aussi une part importante des demandes. En effet, ce type de médiation a augmenté de 30% entre 2012 et 2013. Mais la médiation n’est pas automatique. En 2013, quatre dossiers sur dix ont été renvoyés par la fédération. Certains n’étaient pas recevables et d’autres ne pouvaient pas être résolus par la FFSA.

Via

samedi 6 décembre 2014

Assurance maladie : des dépenses en hausse

Mauvaise nouvelle pour l'Assurance Maladie. Entre janvier et septembre 2014, ses dépenses ont grimpé de 2,9% par rapport à la même période en 2013. Le taux est légèrement moindre en rythme annuel, à 2,6% et même 2,2% sur une année complète, de septembre à septembre. Mais peu importe la période, le constat est inébranlable : les dépenses augmentent à un rythme qui n'a pas évolué depuis fin août.

Pour comparaison, la loi de financement de la Sécurité Sociale pour cette année, votée à la fin de l'année 2013, prévoyait une progression de 2,4 %, évolution confirmée dans la loi rectificative votée en juillet.

La quantité de soins bondit

Les dépenses augmentent plus vite qu'elles ne devraient et semblent difficilement contenables. La faute à qui ? A quoi ? Aux soins, en hausse. Indépendamment des soins hospitaliers, les soins de villes représentent un peu moins de la moitié de la dépense globale, à 45% du total. Or, ces soins ont progressé de 3,6 % sur neuf mois et de 3,3 % en rythme annuel. Seule éclaircie au tableau pour les comptes de la Sécurité Sociale : les remboursements de médicaments se rétractent doucement à -0,3 % sur neuf mois et semblent même stables sur une année complète.

La France, championne des dépenses sociales

Mais les versements aux hôpitaux, eux, ne baissent pas. Au contraire, leur tendance est à la progression avec 2,0 % à la fin du mois de septembre. En revanche, le secteur public est meilleur élève que le privé avec une hausse des dépenses contenue à +1,7 % contre +3,4 % dans le privé et même +3,6 % pour les établissements médico-sociaux.

Les comptes de la Sécurité Sociale françaises continuent donc d'inquiéter. Surtout que les dépenses sociales baissent en Grèce ou au Canada mais demeurent globalement assez élevées. Pourtant, la France pointe au sommet du podium avec 32% de son PIB accordé à ses dépenses, contre 22% en moyenne pour les pays de l'OCDE. Comme elle, la Finlande, la Belgique et le Danemark consacrent plus de 30% à leurs dépenses sociales.

vendredi 5 décembre 2014

Les assurés s'emparent de la prévention

A l'heure actuelle, les compagnies d'assurance auto s'engagent de plus en plus dans la lutte contre les accidents de la route qui s'avèrent être la première cause de mortalité chez les jeunes. A cet effet, ainsi que pour aller encore plus loin dans le cadre de la sensibilisation vis à vis de la sécurité routière, certaines d'entre elles n'ont pas hésité à mettre leurs assurés à contribution en commençant à organiser des concours portant sur le thème de la prévention routière.

La MMA lance son premier concours en 2013

Au cours du mois de décembre 2013, la MMA a lancé un concours vidéo " zérotracas ". Le but de celui-ci fut alors de rendre public, tout en utilisant l'humour, des contenus réalistes et engageants produits par ses propres assurés qui visaient à dissuader les automobilistes de prendre le volant en cas de consommation d'alcool.

Concourt vidéo Macif en 2014

Durant cette année, la compagnie Macif à elle aussi ouvert un " concours vidéo Macif " qui mettait en scène des spots centrés sur la sécurité et la prévention routière. Par conséquent, après avoir passé la main à ses assurés pour la réalisation de ceux-ci, les noms des gagnants de cette édition 2014 viennent tout juste d'être publiés.

Allianz et sa campagne à travers des spots

La compagnie d'assurances Allianz se prépare quant à elle, à entamer une campagne qui aura, par le biais de ses assurés, un objectif essentiel : celui de dénoncer la dangerosité de l'utilisation du téléphone portable au volant.

Trois comportements récurrents ciblés par les assurés

On constate que les spots ou vidéos, lorsqu'ils sont réalisés par les assurés eux-même, sont des productions choc qui mettent le doigt sur 3 grands fléaux récurrents retrouvés dans le comportement des conducteurs : l'alcool, la vitesse et le téléphone au volant.