Le référencement automobile par la vidéo

La vidéo, une phase clé avant le passage à l'achat d'une automobile

Netpop Research, la dernière étude réalisée par Google, a réussi à démontrer l'importance de la vidéo vis à vis du passage à l'achat des automobilistes. En effet, si 97 % des acheteurs automobiles se servent de leur ordinateur dans le but d'effectuer des recherches, ils sont désormais 48% à le faire depuis leur smartphone, au lieu de 39 % en 2013, et 41 % depuis leur tablette, au lieu de 28 %.
Parmi ces différents terminaux, l'ordinateur sert en priorité à la comparaison des modèles tandis que les tablettes et smartphones sont plutôt dédiés à localiser le concessionnaire le plus proche. De ce fait, la vidéo est devenue au fil du temps un élément prépondérant aux clients indécis car 27% d'entre-eux concrétiseront leur achat pour une marque de voiture qu'ils n'avaient pas initialement privilégiée tandis que 15% finaliseront leur achat pour un modèle découvert à l'issue de leur quête.

La vidéo : une réponse aux questions 

Bien qu'en France le référencement automobile soit encore peu exploité, il s'avère que la vidéo en ligne pourrait représenter un avantage incontestable pour certains concessionnaires du fait que le nombre d'acheteurs y ayant recours ait augmenté de 84% en 2 ans. Effectivement, le référencement automobile via la vidéo en ligne permet à un bon nombre de clients de trouver des réponses à leurs interrogations mais également, de rester en contact avec leurs marques favorites.

Le nombre d'essais automobiles en régression

Autre constatation indéniable : le nombre d'essais automobiles avant un achat est en chute constante. Ainsi, on compte environ 35% de clients qui achètent dorénavant leur véhicule sans même l'avoir essayer, et 26% d'acheteurs se contentant d'une seule visite chez un concessionnaire avant de se décider pour un produit.

Pourtant, si près de la moitié des clients ont à l'heure actuelle recours au digital pour trouver des renseignements, ils en restent cependant relativement insatisfaits pour cause de délais d'attente trop tardifs de la part des professionnels.

Via l'Argus