Une véritable alerte ?
Le gouvernement assure que ces chiffres seraient le résultat d'une "sous-évaluation" des années précédentes. Toujours est-il que le ministère de l'intérieur avait lancé un plan spécifique visant à lutter contre les cambriolages mais que celui-ci semble n'avoir guère abouti pour le moment. Sans doute nécessite t-il d'avantage de temps ou de moyens pour se mettre véritablement en place. Manuel Valls défend ce plan en avançant des résultats ciblés, telles certaines zones de Marseille, ou encore l'instauration de 80 zones de sécurité prioritaire. Il aurait assuré que la tendance s'inverserait prochainement.Comment faire face ?
Dans l'attente d'un regain de sécurité, il est important de noter que la hausse des cambriolages, bien que ralentie par moments et par endroits, est un phénomène récurrent des six dernières années. La politique, quelle qu'elle soit, ne peut donc servir seule de frein aux gangs des Balkans qui écument désormais la France ou aux cambrioleurs chevronnés. Aussi, si un logement est présupposé à "risques", il convient de l'assurer de la meilleure façon, garantissant ainsi la tranquillité de ses propriétaires.Que privilégier ?
Il est à noter que les habitations les plus touchées par la hausse du danger s'avèrent être les résidences secondaires, dont le taux de cambriolage a augmenté de 10% en zone urbaine et de 17,7% en zone rurale. Plus encore que les habitations principales, il s'agit donc d'assurer son bien en fonction des risques encourus.Se renseigner sur l'historique du voisinage et comparer les offres des différentes assurances habitations est donc nécessaire pour choisir la protection qui convient le mieux à une résidence... Et dormir sur ses deux oreilles.
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